Les bonnes photographies de concert sont celles qui font regretter de ne pas avoir pu y assister. C’est le cas ici. De plus, les conditions d’éclairage apparemment confortables, l’arrière-plan sombre et dépouillé, contribuent à souligner ces cadrages équilibrés et opportuns. Les photographies du batteur sont particulièrement réussies.
Les photos du batteur ne sont pas exceptionnelles, j’en ai de bien meilleurs, mais ce sont toujours les plus difficiles à faire du fait de l’emplacement en fond de scène (cf https://fototere.wordpress.com/2014/10/18/whiplash-drummers-performances/)
Quand à la lumière… pas si confortable que ça, les éclairagistes d’aujourd’hui adorent appuyer sur tous les boutons !
ce sont des photos superbes, le déclenchement se fait grâce à ton expérience lorsque tu devines que le musicien que tu regardes va marquer un minuscule temps d’arrêt. Ca force l’admiration.
Merci, Michèle ! Oui, à force d’habitude on finit par savoir exactement à quel moment on prendra la meilleur photo… c’est en cela que je dis que la photo de concert est un art mineur, il suffit juste de savoir attendre tandis que pour la photo de rue, il faut être en éveil en permanence, un cliché manqué ne se rattrape pas …
Les bonnes photographies de concert sont celles qui font regretter de ne pas avoir pu y assister. C’est le cas ici. De plus, les conditions d’éclairage apparemment confortables, l’arrière-plan sombre et dépouillé, contribuent à souligner ces cadrages équilibrés et opportuns. Les photographies du batteur sont particulièrement réussies.
Les photos du batteur ne sont pas exceptionnelles, j’en ai de bien meilleurs, mais ce sont toujours les plus difficiles à faire du fait de l’emplacement en fond de scène (cf https://fototere.wordpress.com/2014/10/18/whiplash-drummers-performances/)
Quand à la lumière… pas si confortable que ça, les éclairagistes d’aujourd’hui adorent appuyer sur tous les boutons !
Pour l’éclairage, j’établissais une simple comparaison avec tes récentes photos des Tambours du Bronx.
Bon d’accord, l’éclairagiste de la Cop de mai aime encore plus appuyer sur tous les boutons… sauf celui qui fait de la lumière 😀
ce sont des photos superbes, le déclenchement se fait grâce à ton expérience lorsque tu devines que le musicien que tu regardes va marquer un minuscule temps d’arrêt. Ca force l’admiration.
Merci, Michèle ! Oui, à force d’habitude on finit par savoir exactement à quel moment on prendra la meilleur photo… c’est en cela que je dis que la photo de concert est un art mineur, il suffit juste de savoir attendre tandis que pour la photo de rue, il faut être en éveil en permanence, un cliché manqué ne se rattrape pas …
looks so good 🙂