Le jazz, c’est forcément en noir et blanc, parce que c’est toute son histoire, son âme, des champs de coton de Louisiane à nos jours. J’aime ce style dépouillé des couleurs outrancières, débarrassé au maximum des accessoires pour se concentrer sur les musiciens qui font corps avec leur instrument. Comme d’habitude, je l’entends dire dans un enthousiasme insatisfait : « j’ai juste fait quelques photos… », et il n’y a aucun mensonge sur le « quelques » !
Cette série a quelque chose en plus : les duos, parfois détendus, parfois très concentrés, mais dans tous les cas à leur affaire. Là on se dit, ça joue !
Et certains diront: « Je connais des photographes qui ont pris 200 photos à ce concert ! » et bien soit, moi j’avais seulement une pellicule 12 poses 😉
Le jazz, c’est forcément en noir et blanc, parce que c’est toute son histoire, son âme, des champs de coton de Louisiane à nos jours. J’aime ce style dépouillé des couleurs outrancières, débarrassé au maximum des accessoires pour se concentrer sur les musiciens qui font corps avec leur instrument. Comme d’habitude, je l’entends dire dans un enthousiasme insatisfait : « j’ai juste fait quelques photos… », et il n’y a aucun mensonge sur le « quelques » !
Cette série a quelque chose en plus : les duos, parfois détendus, parfois très concentrés, mais dans tous les cas à leur affaire. Là on se dit, ça joue !
Et certains diront: « Je connais des photographes qui ont pris 200 photos à ce concert ! » et bien soit, moi j’avais seulement une pellicule 12 poses 😉
beautiful 🙂